Au cours de la deuxième session ordinaire du Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM), les responsables des structures centrales, déconcentrées et rattachées du ministère de la Communication et des Relations avec le Parlement ont évalué les actions du département en 2018 et fait des projections pour 2019. C’était le jeudi 27 décembre 2018 à Ouagadougou.
Au ministère de la Communication et des Relations avec le Parlement, la dynamique d’ensemble a été relativement positive en 2018, qui aura été meilleure que l’année précédente en termes d’atteinte des objectifs. Cela même si, les questions de revue budgétaire peuvent avoir pénalisé les acteurs. Telle est la conviction du chef du département, Remis Fulgance Dandjinou, à l’issue de l’ouverture de la deuxième session ordinaire Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM), le jeudi 27 décembre 2018 à Ouagadougou.
A ses dires, le ministère a quasiment exécuté tout ce qui était de son ressort. « Il y a eu quelques petites difficultés, notamment avec la mise en place des directions régionales, mais en 2019, nous allons pouvoir tout finaliser avec la volonté de tous », a-t-il espéré. Au sujet des grands projets de 2019, le ministère a fait savoir qu’il sera question de l’amélioration des relations avec le Parlement, des processus en cours concernant la transformation des Editions Sidwaya et de la RTB en sociétés d’Etat et de l’opérationnalisation du Fonds d’appui à la presse privée.
Après la première session en juillet dernier, ce second CASEM, placé sous le thème : « Evaluation de la mise en œuvre des actions du ministère de la Communication et des Relations avec le Parlement », est l’opportunité de faire une revue globale de la politique du ministère en termes d’acquis, d’insuffisances en vue de mieux planifier l’année à venir. D’après le ministre, les participants devraient analyser le bilan d’exécution du programme d’activités et le rapport financier, programmer et budgétiser les activités de 2019. Ils devraient également réfléchir aux solutions idoines aux difficultés de mise en œuvre des actions du département.
Jean Philibert SOME
