Portée par le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, l’Initiative présidentielle pour une éducation de qualité (IPEQ) ambitionne de faire de l’éducation la locomotive du développement au Burkina Faso. L’un des axes majeurs de cette initiative est l’amélioration des infrastructures dans le secteur de l’enseignement supérieur à travers la construction de 40 complexes composés d’amphithéâtres et de bâtiments administratifs en 5 ans. Pour la première année, 12 de ces chantiers ont été lancés en janvier 2025. Pour s’assurer de leur bonne exécution dans les délais impartis, le Bureau national des grands projets du Burkina (BN-GPB) a initié, les 1er et 2 août 2025, des visites sur les chantiers de Manga, Pô (centre médical), Ouahigouya, Bobo-Dioulasso, Banfora, Tenkodogo, Ouagadougou, Ziniaré et Gaoua. Au constat, les travaux accusent des retards, mais des instructions fermes ont été données pour livrer les infrastructures à bonne date.
Les travaux de construction de l’amphithéâtre de 500 places de l’Université Lédéa-Bernard-Ouédraogo (UBLO) sont à un taux d’exécution de 25%. C’est ce qui ressort de la visite d’une équipe de l’initiative présidentielle pour une éducation de qualité (IPEQ) conduite par son coordinateur national, Dr Zakaria Soré, le vendredi 1er août 2025 sur le chantier à Ouahigouya. Selon le coordinateur national de l’IPEQ, la visite a pour objectif de venir évaluer les travaux de la construction de l’amphithéâtre. « La construction de l’amphithéâtre s’inscrit dans l’initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous par la volonté du Chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré afin d’offrir des infrastructures d’éducation de qualité. Il ressort que le taux de réalisation est à 25%, ce qui est vraiment en deçà de nos attentes. Des difficultés ont été soulignées par l’entreprise en charge de l’exécution mais cela ne doit pas être une excuse pour ce niveau de retard », a-t-il estimé.
C’est l’entreprise AL-BADER LOBBYING SARL du Burkina qui est chargée de l’exécution du marché avec un délai d’exécution de neuf mois fixé à octobre 2025. Toutefois, l’entreprise promet de mettre les bouchées double pour livrer l’infrastructure à bonne date. « Actuellement nous sommes au stade remblaiement. La certification tardive des plans du chantier, l’insécurité et le manque d’eau sont les principaux problèmes qui expliquent ce grand retard. Nous comprenons bien leur inquiétude mais nous nous engageons à donner le meilleur de nous-même pour relever le défi afin que le bâtiment soit prêt à bonne date. Les travaux du chantier vont bientôt prendre une nouvelle allure » a laissé entendre le conducteur des travaux du chantier Faiçal Guigma.
Des travaux réalisés à 20% à Manga
Sur le chantier de construction de l’amphithéâtre du Centre universitaire de Manga (500 places), c’est le directeur de cabinet du président du Faso, le capitaine Martha Céleste Anderson Dekomwin Medah qui a conduit, le vendredi 1 août 2025, la mission. Le capitaine Medah est allé constater l’état d’avancement des travaux qui affiche, à ce jour, un taux d’exécution physique estimé à 20% pour un délai consommé de 70%. Le retard est notamment attribué à un démarrage tardif dû à des questions procédurales et des difficultés liées à la nature du sol. Des justifications insuffisantes, selon le capitaine Anderson Medah qui estime que l’entreprise EURO Burkina, en charge des travaux, manque surtout « d’engagement » et de « volonté ». Il a expliqué qu’au regard du retard accumulé, il est anormal qu’elle continue d’exécuter les travaux avec un personnel réduit de seulement 40 ouvriers permanents et sans un système d’éclairage pour permettre le travail nocturne. « Il y a une grande frustration parce que nous sommes arrivés sur un chantier en deçà de nos attentes », a-t-il ajouté. Pour remédier au problème de la lenteur des travaux et tenir la construction de l’amphithéâtre dans les délais contractuels, le directeur de cabinet du président du Faso a exhorté l’entreprise à corriger toutes les défaillances constatées. Il a également appelé les parties prenantes à accorder une attention particulière au projet qui est « très bénéfique pour la région du Nazinon et l’ensemble du Burkina Faso ». Du reste, il a annoncé le renforcement du dispositif de contrôle pour s’assurer du respect des engagements pris en vue d’accélérer le rythme des travaux et offrir l’infrastructure dans les délais initiaux. Le futur amphithéâtre de Manga dont la livraison est initialement prévue pour octobre 2025 sera à niveau avec une capacité de 500 places. Le chantier comporte également la construction de bureaux, de salles de professeurs, de blocs de toilettes… Le projet s’inscrit dans le cadre de l’Initiative présidentielle pour une Education de Qualité pour tous (IPEQ) qui vise à renforcer les infrastructures universitaires en vue d’améliorer les conditions d’études et de travail des étudiants et enseignants.
« Nous tenons au strict respect du délai »
A Banfora, une équipe de l’IPEQ, conduite par son coordonnateur technique, Dr Raymond Ouoba, a visitée le chantier de construction d’un amphithéâtre de 500 places et d’un bloc pédagogique de type R+2 composé de salles de cours de 50 à 200 places, de salles de travaux dirigés, et de bureaux pour les personnels enseignant et administratif, au profit du Centre universitaire de Banfora, le vendredi 1er aout 2025. Le chantier connait un retard mais l’entreprise a promis mettre les bouchées doubles pour livrer les infrastructures dans les délais. Selon le coordonnateur technique, cette sortie s’inscrit dans le dispositif de suivi-évaluation des projets de l’IPEQ. Ce dispositif, a-t-il dit, se compose des missions de contrôle permanent sur le site, des missions de supervision périodique et des visites inopinées. A l’issue de la visite, le coordonnateur technique a confié que son équipe a constaté un retard dans les travaux, mais a donné des instructions à l’entreprise pour s’assurer de l’avancement des travaux. « Nous tenons au strict respect du délai qui court jusqu’au 30 septembre prochain », a-t-il indiqué. Du côté de l’entreprise « IC-KC », en charge des travaux, le Directeur général (DG), Joël Mory Som, a rassuré l’équipe de l’IPEQ quant à la livraison des ouvrages à bonne date. « Nous avons établi un planning actualisé des travaux. Vu ce planning, nous sommes confiants que nous allons respecter le délai », a laissé entendre M. Som. Du reste il a affirmé que les travaux de soubassement sont presque terminés. Le retard constaté, à l’en croire, est dû surtout au démarrage précoce de la saison des pluies qui, a-t-il insisté, a perturbé les travaux. Qu’à cela ne tienne, Joël Som a rassuré que son équipe met les bouchées doubles pour être dans les délais. « Nous travaillons nuit et jour et nous allons augmenter l’effectif du personnel », a-t-il donné comme gage. Selon le Dr Ouoba, à terme, le Centre universitaire de Banfora bénéficiera de 3 amphithéâtres dont deux de 500 places et un de 1000 places, une cité universitaire, un aménagement paysager, un bloc pédagogique de type R+2 et de 5 km de route pavée.
Un amphithéâtre de 1000 places à l’Université Nazi-Boni
L’Université Nazi-Boni de Bobo-Dioulasso bénéficie également de la construction d’un amphithéâtre de 1 000 places et d’un bâtiment pédagogique. Afin de s’imprégner de l’état d’avancement des travaux et d’échanger avec les acteurs sur les éventuelles difficultés, l’équipe du coordonnateur technique de l’IPEQ, Dr Raymond Ouoba a effectué une visite inopinée sur ce chantier, le jeudi 1er août 2025. Selon le chargé du suivi des travaux, Donatien Bama, le chantier affiche un taux d’exécution physique de 40 %, sur un délai consommé de 60 %. « Les travaux en cours concernent la maçonnerie, les élévations, la dalle du R+2, le tôlage, le crépissage, la peinture et le carrelage », a-t-il précisé. L’entreprise en charge du projet s’est engagée à livrer l’amphithéâtre et le bâtiment pédagogique d’ici trois mois. Composé d’un amphithéâtre de 1 000 places, le complexe inclura également un bloc en R+3 abritant des bureaux administratifs pour les enseignants, des salles de travaux dirigés de 50 à 200 places, ainsi que des laboratoires. Le tout vise à améliorer les conditions d’apprentissage et de travail au sein de l’université. Pour le Dr Raymond Ouoba, cette réalisation est emblématique de la volonté du gouvernement de transformer le système éducatif burkinabè. « L’IPEQ contribuera à l’amélioration des conditions de vie et d’études. Nous sommes globalement satisfaits de l’état d’avancement des travaux. L’entreprise nous rassure sur le respect des délais et de la qualité », a-t-il affirmé. A l’entendre, cette visite s’inscrit dans une dynamique de suivi rigoureux de la mise en œuvre de l’IPEQ, pour s’assurer que chaque infrastructure soit livrée dans les meilleures conditions. « Les ouvriers sont mobilisés jour et nuit pour tenir le calendrier établi et respecter les plans validés par le gouvernement », a-t-il ajouté.
15,53% de taux d’exécution à Tenkodogo
Les visites se sont poursuivies le samedi 2 août 2025 sur le chantier de construction d’un amphithéâtre de 500 places et d’un bloc pédagogique et d’un laboratoire au profit du Centre universitaire de Tenkodogo. Un mois après leur démarrage effectif, les travaux sont à un taux d’exécution est de 15,53% pour un délai consommé de 72%. C’est le constat fait par une équipe du Bureau national des grands projets du Burkina Faso, conduite par son directeur exécutif, Bruno Compaoré. « Nous avons effectué cette visite pour nous enquérir de l’état d’évolution de cet amphithéâtre qui est la matérialisation de la composante de l’Initiative présidentielle pour l’éducation de qualité », a indiqué M. Compaoré. Il a expliqué qu’il y a eu un retard dans le démarrage des travaux du fait de la non-validation du plan d’exécution. En dépit de cela, il s’est dit confiant et a encouragé l’entreprise en charge de la mise en œuvre de ce projet à garder le cap. Pour ce faire, l’équipe du directeur exécutif Compaoré a recommandé à l’entreprise d’intensifier les travaux de nuit et de mettre de la rigueur dans toutes les étapes dans la réalisation de l’infrastructure. Elle a également invité l’entreprise chargée du contrôle à augmenter le nombre de contrôleurs sur le site. Selon le directeur technique de Miloungou Constructions, l’entreprise chargée de l’exécution des travaux, Nassouri Diassibo Paul, l’infrastructure qui est à l’étape de la fondation, est un bâtiment R+2 qui va sortir de terre dans un délai 9 mois. Il a aussi souligné que ce projet qui va être érigé sur une superficie de 3000 m2 va coûter plus de 3,3 milliards F CFA au contribuable burkinabè. Malgré le retard accusé, il a rassuré que toutes les dispositions ont été prises pour livrer le bâtiment dans un délai « raisonnable ». Dans ce sens, il a fait savoir que son équipe travaille 24h/24 afin de tenir ses engagements. Le Centre universitaire de Tenkodogo, ouvert, il y a six ans, ne dispose toujours pas de locaux, obligeant l’administration à louer des salles afin d’assurer les cours aux étudiants.
« Les délais restent les mêmes »
Après Ouahigouya, le coordonnateur de l’IPEQ, Zakaria Soré, a effectué une visite terrain sur les sites de construction d’amphithéâtres à l’Université de Ziniaré, région d’Oubri et de l’Institut burkinabè des arts et métiers (IBAM), au quartier Somgandé de Ouagadougou, le samedi 2 août 2025. Ces travaux lancés en janvier dernier pour un délai de réalisation de neuf mois, affichent à ce jour des taux d’exécution en deçà des attentes, a déploré le coordonnateur à l’issue de sa visite. « On aurait aimé avoir des bâtiments déjà dressés, mais on ne les voit pas. Ce qui veut dire qu’il y a un retard et nous sommes un peu insatisfaits » a déclaré M. Soré. Il a fait savoir que s’agissant de l’amphithéâtre de 500 places et du bloc pédagogique en construction au profit de l’université de Ziniaré, le taux d’avancement des travaux est de 20,5% pour un délai consommé au-delà de 71,3%. Quant au chantier à l’IBAM, il enregistre un taux d’exécution de 22, 4% pour un délai consommé de 71, 8%.
Au vu des résultats, le coordonnateur a donné des instructions fermes aux responsables des entreprises chargés des travaux afin que le retard soit rattrapé. « Les délais restent les mêmes. C’est aux entreprises de se réorganiser pour être dans le délai et nous livrer des infrastructures de qualité », a-t-il prévenu. Il a soutenu que la construction de ces infrastructures émane de la vision du Président du Faso de renforcer les infrastructures universitaires et améliorer les conditions de travail des étudiants et des enseignants. « Au regard du caractère spécial des chantiers et les attentes légitimes des Burkinabè, nous instruisons les différentes entreprises à se remobiliser pour permettre aux différents acteurs d’entamer la nouvelle année académique dans ces infrastructures », a-t-il confié. Les responsables des entreprises chargées des travaux ont promis d’accélérer la cadence en vue de respecter les délais impartis. Le technicien de l’entreprise « SOCOM » chargée des travaux sur le site de Zinairé, Emmanuel Kaboré a expliqué que le retard sur son chantier est lié à des « aspects techniques mais qui ont été résolus. « Actuellement nous sommes sur une bonne lancée pour satisfaire l’initiative présidentielle », a-t-il rassuré. Le représentant du bureau de contrôle, Arnaud Kaboré a promis de veiller pour que l’entreprise reste dans les délais et se conforme aux normes. Pour ce qui est du chantier de l’IBAM, le chef de mission de contrôle des travaux, Idrissa Togo, s’est dit confiant quant à la livraison de l’infrastructure à bonne date. « Il nous reste environ 30% du délai. Mais, avec les dispositions que nous avons prises, nous sommes très optimistes de livrer le chantier dans le délai prévu », a-t-il dit. Selon lui, l’entreprise prévoit même de travailler de jour comme la nuit pour permettre d’atteindre son objectif qui est rendre les ouvrages en octobre.
Le chantier de Gaoua aussi
Le coordonnateur technique de l’IPEQ, Dr Raymond Ouoba a également effectué une visite sur le site de construction du complexe universitaire à Gaoua, le samedi 2 août 2025. Le chantier visité concerne la construction d’un complexe universitaire comprenant un amphithéâtre de 500 places et d’un bâtiment pédagogique en R+2 extensible à R+3, comportant des bureaux, des salles de cours (50 à 200 places), de salles de travaux dirigés, ainsi que des laboratoires. La mission de suivi a noté un retard important dans l’exécution des travaux. « L’état d’avancement est en deçà de nos attentes. Des injonctions ont été transmises à l’entreprise, notamment la remise d’un planning global actualisé au plus tard lundi prochain et de plannings hebdomadaires chaque vendredi », a exigé Dr Ouoba. Concernant la qualité des travaux, le coordonnateur technique de l’IPEQ, a précisé que des vérifications sont effectuées à chaque étape avant de passer à la suivante, garantissant ainsi la qualité des infrastructures à venir. En cas de non-conformité, les travaux sont immédiatement suspendus. « L’entreprise a jusqu’au 30 septembre 2025 pour livrer l’ouvrage. Mais au regard du retard, la coordination technique de l’IPEQ a exigé un renforcement de l’effectif sur le chantier.
Le conducteur des travaux pour l’entreprise SOBEC, en charge des travaux, Dieudonné Obulbiga, a reconnu les retards accusés et les difficultés rencontrées. L’état d’exécution des travaux est à 18 %, foi M. Obulbiga. Le retard, selon lui, est lié en partie aux conditions climatiques et à la nature du sol, difficiles à travailler. « Nous avons terminé le soubassement et nous sommes à l’étape des élévations. Le sol difficile à travailler et les pluies fréquentes ont ralenti notre progression », a-t-il souligné. Par ailleurs, il a affirmé que des dispositions ont été prises pour accélérer les travaux. En effet, pour rattraper le retard, l’entreprise compte travaille de jour et de nuit, tripler ou quadrupler l’effectif, accélérer le remblayage et des élévations. « Le défi est grand, mais nous avons conscience de l’enjeu. Nous avons pris la mesure de l’urgence et mettons tout en œuvre pour livrer le chantier à la date prévue comme le stipule le contrat », a-t-il confié.
Construction d’un centre médical à Pô
Lancée en janvier 2025, l’initiative présidentielle pour la santé ambitionne de construire 55 centres médicaux communaux sur 5 ans dont 25 centres médicaux en 2025. La vision du Président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré est d’améliorer l’offre et la qualité des soins, de rapprocher les soins de qualité aux populations et de réduire les évacuations vers les grands centres médicaux. Dans ce cadre, le Bureau national des grands projets du Burkina a aussi organisé une visite terrain sur le chantier de construction d’un centre médical communal à Pô dans la province du Nahouri, région du Nazinon le vendredi 1er août 2025. C’est le Directeur de cabinet du président du Faso, le capitaine Martha Céleste Anderson Dekomwin Medah, accompagné d’une équipe du Bureau national des grands projets du Burkina, qui a effectué la visite de supervision du chantier situé à l’infirmerie du Camp militaire Thomas-Sankara de Pô. A termes, selon le capitaine Medah, il est prévu la construction d’un bâtiment R+1 composé d’une urgence médicale, d’un laboratoire, des salles d’hospitalisations d’au moins 30 lits, d’un bloc opératoire pour les chirurgies essentielles d’urgence, de l’imagerie médicale et bien d’autres services. A l’issue de la visite, le chef de la délégation a manifesté son insatisfaction quant au bon déroulement des travaux. En effet, à plus de 50% des délais impartis pour la réalisation de l’infrastructure, le taux d’exécution physique est évalué à 9%. « Nous avons reçu des explications qui ne nous ont pas satisfaits », a relevé le Directeur de cabinet du Président du Faso. Au regard du retard accusé, il a confié avoir donné des instructions nécessaires afin que les acteurs du suivi-évaluations et les responsables de l’entreprise puissent redoubler d’efforts, augmenter considérablement les effectifs des travaux afin de rattraper les délais perdus. « Des dispositions seront prises pour contraindre les entreprises à respecter leur engagement et des mesures seront également prises à l’endroit des entreprises qui resteront toujours défaillantes », a prévu le capitaine Medah. Puis de préciser qu’une visite sera effectuée dans deux semaines pour vérifier l’évolution du chantier de Pô. Le Directeur technique de l’entreprise SBI en charge de l’exécution des travaux, Augustin Tiendrébeogo a dit avoir suivi avec beaucoup d’attention les instructions reçues. « Nous avons pris bonne note et nous nous engageons à redoubler plus d’efforts pour satisfaire l’autorité. Nous allons augmenter les effectifs demandés, proposer un planning d’achèvement avec une réorganisation conséquente pour corriger le retard et être dans les délais », a-t-il rassuré.
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