Grâce à cette signature de partenariat entre la FBF et l’eau minérale... Babali…

La Fédération burkinabè de football (FBF) et l’Eau minérale Babali ont procédé,
le 21 mai dernier à Bobo-Dioulasso, à une signature une convention de
partenariat. Durant la saison 2025-2026, les joueurs, encadreurs et officiels
vont bénéficier d’un produit de qualité, 100 % burkinabè, pour se rafraîchir
avant, pendant et après les matchs.

Pour créer un environnement sain et favorable à la performance de nos acteurs sur
les terrains du Fasofoot, la Fédération burkinabè de football (FBF) et le l’eau minérale
Babali ont procédé, le 21 mai dernier à Bobo-Dioulasso, à une signature une convention de
partenariat.

Grâce à ce partenariat, les joueurs, encadreurs et officiels vont bénéficier d’un produit de
qualité, 100 % burkinabè, pour se rafraîchir avant, pendant et après les matchs, la saison
prochaine. Pour le 1er responsable de la faîtière du football burkinabè, Oumarou Sawadogo, l’hydratation est essentielle dans la pratique du football où un match fait plus de 2 heures de débauche d’énergie, jeu et échauffement compris.

…les joueurs, encadreurs et officiels vont bénéficier d’un produit de
qualité, 100 % burkinabè, pour se rafraîchir avant, pendant et après les
matchs, la saison prochaine, selon le président de la FBF, Oumarou Sawadogo

« Je salue le professionnalisme et l’engagement citoyen de l’eau minérale Babali, qui a bien
voulu accompagner notre Fédération dans la dynamique de modernisation et de soutien à
nos compétitions locales », a-t-il mentionné. Et d’ajouter : « au￾delà du rafraîchissement ce geste est une marque de confiance envers le football burkinabè et un signal fort adressé à d’autres partenaires potentiels.

Ensemble, poursuivons notre ambition de faire rayonner le football national à tous les
niveaux ». Quant au directeur général de l’eau Babali, Mahamadi Barry, c’est un accompagnement mutuel. « Nous ne sommes pas sur les aspects commerciaux. Une
signature est un engagement et la FBF peut compter sur notre structure. En somme, c’est le Burkina Faso qui gagne », a-t-il laissé entendre.

Ollo Aimé Césaire HIEN

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