Nous a rendu visite : « Sidwaya, c’est l’histoire d’une nation », ministre Harouna Kaboré

Le ministre en charge du commerce, Harouna Kaboré : « je suis fier de savoir que le Burkina Faso a une histoire bien gardée à travers les archives de Sidwaya».

Le ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat, Harouna Kaboré, a visité les locaux des Editions Sidwaya, le mardi 17 septembre 2019 à Ouagadougou.

De façon générale, le gouvernement burkinabè est satisfait du travail d’information et de sensibilisation dans les colonnes du quotidien Sidwaya. Le ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat, Harouna Kaboré, l’a signifié aux responsables de la « Maison commune » ainsi qu’aux agents qui y travaillent, lors d’une visite à l’institution, le mardi 17 septembre 2019 à Ouagadougou.

Avec le directeur général, Mahamadi Tiégna, le patron du Commerce au Burkina Faso a fait le tour des différents services afin de toucher du doigt les réalités de l’organe de presse. Posant par moments des questions de compréhension, le ministre s’est véritablement intéressé au processus de collecte, de rédaction, d’impression et de tirage du journal papier. Pour Harouna Kaboré, cette visite est a priori, un acte d’encouragement et d’accompagnement à l’endroit du personnel de l’organe.

Dans le livre d’or, il a mentionné que les Editions Sidwaya c’est aussi l’histoire du pays, des hommes, de l’innovation et de l’espérance. « Tels sont les sentiments qui m’ont animé en visitant les locaux de l’un des meilleurs quotidiens de notre pays », a-t-il déclaré. Et d’ajouter que c’est une fierté pour le gouvernement de savoir qu’il peut compter sur un groupe de presse en matière d’informations justes et fiables.

« Aux travailleurs et travailleuses des Editions Sidwaya, à l’équipe de management, aux visiteurs indirects et aux partenaires, recevez mes félicitations et mes encouragements », a-t-il congratulé. M. Kaboré a invité les médias à continuer de jouer leur rôle de quatrième pouvoir pour le renforcement de l’Etat de droit.

« Particulièrement pour Sidwaya, je suis fier de savoir que le Burkina Faso a une histoire bien gardée à travers les archives et la documentation.  Je suis également ravi du fait qu’il existe une discipline sur laquelle, les jeunes peuvent s’appuyer pour avancer », a-t-il dit. Pour finir, il a souhaité que l’organe de presse continue de donner la bonne information comme l’indique son nom.

Panson Antoinette BENON
(Stagiaire)

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