Deux agents du quotidien d’Etat ivoirien, Fraternité Matin, ont séjourné, du 25 au 29 novembre 2019 à Ouagadougou, dans le cadre d’un partage d’expériences avec les Editions Sidwaya.
Les Editions Sidwaya et Fraternité Matin, le quotidien d’Etat de Côte d’Ivoire se sont engagés dans un partenariat dynamique pour le rayonnement des deux entreprises de presse. Dans cette optique, deux agents du quotidien ivoirien étaient à Ouagadougou pour un partage d’expériences. Alexis Kramboh et Aly Kouamé, respectivement correcteur et documentaliste,ont eu des séances de travail avec leurs confrères de Sidwaya durant leur séjour.
A l’issue des travaux qu’ils ont eus avec leurs confrères de Sidwaya, ils ont échangé avec le directeur général des Editions Sidwaya sur les points qui ont été l’objet des travaux. C’était dans l’après-midi du vendredi 29 novembre 2019, dans les locaux du journal. En effet, du secrétariat de rédaction à la documentation du « Journal de tous les Burkinabè » les émissaires de « Frat Mat » se sont imprégnés des conditions de travail typographique et documentaire du journal. « Nous avons travaillé sur la typographie, l’organisation du travail et nous avons fait des cas pratiques avec nos confrères de Sidwaya. J’avoue que c’était édifiant », a confié Alexis Kamboh, correcteur à Fraternité Matin. Il ajouté qu’en dépit de la non-numérisation du système de correction constatée à Sidwaya, le produit fini du journal séduit par sa qualité et le professionnalisme du travail abattu.
Pour ce qui concerne la documentation, Aly Colette Kouamé s’est dit impressionnée par la numérisation du fonds documentaire des Editions Sidwaya. Toute chose qui, à son avis, est très importante pour un quotidien d’Etat. «En très peu de temps, Sidwaya a pu numériser tout son fonds documentaire. C’est un pas très important qui a été franchi », a-t-elle indiqué. Ils ont tous souhaité que le partenariat entre les deux organes de presse se poursuive afin que dans une synergie d’actions, Sidwaya et Fraternité Matin puissent se hisser au firmament de la presse francophone sous-régionale.
Soumaïla BONKOUNGOU