Formation professionnelle : l’ISTIC et CSC signent une convention

Le Conseil supérieur de la communication (CSC) et l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC) ont signé, le mercredi 27 avril 2022 à Ouagadougou, une convention en vue à s’accompagner mutuellement dans l’encadrement des étudiants.

Le Conseil supérieur de la communication (CSC) et l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC) sont désormais liés par les liens ’’du mariage’’. Ce pacte, qui vient d’être scellé, le mercredi 27 avril 2022 ;,définit les clauses du contrat. Ainsi à travers ce paraphe, le CSC s’engage, entre autres, à appuyer l’ISTIC dans l’encadrement de ses étudiants en mettant à leur disposition, des documents pour les recherches, mais aussi, à l’accompagner dans la formation pratique de ses étudiants. Quant à l’ISTIC, il s’engage à mettre des hommes qualifiés à la disposition du CSC si le besoin est exprimé et à le soutenir dans la connaissance de ses missions. Pour le directeur général de l’ISTIC, Zoumana Traoré, l’idée de cette collaboration n’est pas sortie du néant. « C’est à travers nos discussions que nous avons réfléchi à la possibilité que les étudiants ou l’institut en général pourrait être intéressé par les actes majeurs du CSC notamment les questions de régulation », a-t-il dit. Pour lui, le CSC regorge de nombreux atouts, mais le plus souvent, ce qui intéresse ses étudiants, c’est le service du monitoring. Donc, c’est l’occasion d’alimenter en termes de données, des ressources humaines à ce niveau, a indiqué M. Traoré. Pour le vice-président du CSC, Abdoul Azize Bamogo, cette signature de convention est guidée par deux ambitions.

La première, celle de connaissance, de savoir. Et dans ce sens, il a affirmé que le rôle d’un régulateur, c’est de maîtriser la dynamique qui motive l’activité du média et du secteur de la communication au Burkina Faso. « C’est un partenariat qui va nous aider à faire face à ce besoin de connaissances en matière de régulation de médias dans notre pays», a-t-il déclaré. La deuxième, c’est de contribuer à gérer les compétences qui pourront être exploitées demain par le CSC. En tout état de cause, les deux parties, avant de se quitter, sont convenus de tout mettre en œuvre pour que ce partenariat soit fructueux.

Donald Wendpouiré NIKIEMA tousunis.do@gmail.com

Haoua MINOUGOU (Stagiaire)

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