Prix Galian et UACO : une réflexion à Kaya pour de nouvelles réformes

Le ministre de la Communication et des Relations avec le Parlement a ouvert, le jeudi 10 juin 2021 à Kaya, un atelier de réflexion sur les réformes du concours du « prix Galian » et des Universités africaines de la communication (UACO).

Se pencher sur le concours du « prix Galian » et les UACO et opérer des réformes profondes pour leur redonner un souffle nouveau et de nouvelles ambitions, c’est le sujet qui réunit les 10 et 11 juin 2021 à Kaya, chef-lieu de la région du Centre-Nord, journalistes, enseignants et cadres du ministère en charge de la communication.
Le ministre de la Communication et des Relations avec le Parlement, Ousséni Tamboura a relevé l’importance de ces deux évènements pour son département et pour tous les acteurs du monde de l’information et de la communication. Ces journées de réflexion et d’échanges devraient, selon lui, « contribuer à consolider les acquis individuels et collectifs engrangés et trouver des stratégies à même d’innover et de dynamiser ces évènements majeurs. »
Pour Boureima Salouka, président du groupe de travail, l’initiative de réformer ces deux grands évènements est nécessaire au regard de l’évolution du temps. Selon lui, les travaux porteront aussi bien sur la forme que sur le fond du concours du «prix Galian » et des UACO.

Le ministre Tamboura s’est dit confiant, quant à l’issue de cet atelier de réflexion, les résultats auxquels les participants seront parvenus, permettront d’atteindre les objectifs escomptés et contribueront au rayonnement de ces deux manifestations.
Le concours du « prix Galian», a été initié en 1997 avec la tenue de la première édition en 1998. Il vise à promouvoir les différents corps de métier dans les médias publics et privés du Burkina Faso. Les UACO, initiées en 2004, constituent un cadre d’échanges entre les acteurs du monde de l’information et de la communication. Elles sont l’une des grandes attractions des professionnels des médias, des communicateurs, des universitaires et des étudiants africains.

Augustin Irwaya
OUEDRAOGO

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