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Les acteurs du monde de l’éducation sont pratiquement au milieu du second trimestre de l’année scolaire, alors que les élèves n’ont pas encore été évalués. A travers le pays, ces derniers manifestent pour réclamer leur évaluation.

Une situation qui interpelle plus d’un, parce que pour l’une des rares fois, leur crainte est justifiée. Il reste donc à espérer le dialogue « sincère » qu’a promis le nouveau Premier ministre, Christophe Dabiré, avec les syndicats de l’éducation pour aboutir à un retour rapide et définitif à la normale dans les écoles publiques burkinabè. L’avenir des enfants et partant, celui du pays en dépend.

Jean-Marie TOE

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