IIe vague des soutenances de fin de cycle à l’ISIS: plus de 20 étudiants défendent leurs productions

La nouvelle diplômée en licence professionnelle en montage, Laetitia Marie Nadine Kagambèga, a remercié ses encadreurs pour l’accompagnement.

L’Agence burkinabè de la cinématographie et de l’audiovisuel (ABCA) tient la IIe vague des soutenances de fin de cycle de l’Institut supérieur de l’image et du Son-studio école (ISIS-SE), du 26- 30 août 2025 à Ouagadougou.

Le top départ de la IIe vague des soutenances de fin de cycle des étudiants de
l’Institut supérieur de l’image et du son Studio école (ISIS-SE) a été donné. C’est le responsable du département de l’Institut supérieur de l’image et du son, Aimé Bado, représentant le directeur général de l’Agence burkinabè de la cinématographie et de l’audiovisuel, qui a lancé les soutenances, mardi 26 août 2025 à Ouagadougou. Durant 5 jours, une vingtaine d’étudiants vont faire face aux membres du jury pour présenter et défendre leurs productions.

L’étudiante en fin de cycle licence professionnelle, Laetitia Marie Nadine Kagambèga, a été la première à soutenir. Elle a présenté les résultats de sa production en montage sur le thème : « La dynamique de la collaboration entre le monteur et le réalisateur dans le montage du documentaire cas du film ‘’Je fais ma part’’ de Mireille Armelle Bamogo ». Pendant sa présentation, elle a situé le contexte du film documentaire de 26 minutes de Mireille Bamogo, en montrant les relations entre monteur etréalisateur en lien avec son thème.

Le jury a jugé satisfaisant la pertinence du travail. Ainsi, il l’a sanctionné d’une note de 16 /20. Tout en félicitant l’impétrante, le jury l’a exhorté à continuer à apprendre et à se perfectionner pour être une professionnelle aguerrie sur le terrain.
La nouvelle diplômée en licence professionnelle en montage, Laetitia Marie Nadine Kagambèga s’est réjouie en rendant grâce à Dieu pour sa note.

Elle a expliqué que tout n’a pas été rose du début de la formation à la soutenance mais avec courage, elle a pu finaliser sa production. Le président du jury, Redo Porgo, réalisateur à la retraite a relevé que dans le domaine du cinéma, le montage étant une étape fondamentale dans la réussite d’une œuvre cinématographique, est vue comme une post-production. Il a donc expliqué l’importance du montage dans la qualité d’une œuvre. Pour lui, l’impétrante a su faire ressortir différentes qualités à travers sa complicité avec la réalisatrice.

Gbetcheni Constantin Bertrand KAMBIRE
(Collaborateur)

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