Le vœu des producteurs du Sud-Ouest, c’est qu’a l’issue de cette JNP, il y ait un changement, tant à leur niveau que chez les décideurs. (On ne peut pas relever les défis de la sécurité alimentaire en ayant les mêmes habitudes et pratiques qu’un producteur de 1960. Il faut un réel changement), assure M. Hien. A l’en croire, la modernisation des moyens de production, et surtout la formation des producteurs pour une maîtrise des techniques agricoles, permettront de s’adapter au changement climatique.