Travail forcé au Xinjiang : Des allégations non fondées aux desseins politiques

Contrairement aux allégations de « travail forcé », la région de Xinjiang est stable, prospère et offre une sécurité à sa population.  

La région de Xinjiang en Chine est la cible de nombreuses accusations de la part des médias occidentaux qui font cas de « travail forcé » dans cette partie de la Chine majoritairement peuplée par les minorités ethniques dont des Ouïghours turcs. Des allégations qui semblent basées sur une méconnaissance et une mauvaise interprétation des politiques de la Chine au Xinjiang.

 

Depuis quelques temps, des informations sur un prétendu « travail forcé » au Xinjiang, font la Une des médias occidentaux notamment ceux des Etats Unis. Mais, ces pays semblent avoir une méconnaissance de la vérité et des faits, et une mauvaise interprétation des politiques de la Chine au Xinjiang. En effet, il est d’une vérité universelle que le travail est source de richesse. La recherche d’une meilleure vie est également le droit fondamental de tout être humain. Sur cette base, on peut donc affirmer qu’il n’existe pas de « travail forcé » au Xinjiang.

Les travailleurs du Xinjiang ont la volonté de créer leur fortune, et cela ne peut être décrié comme « travail forcé ». Jiti Yimiti, cultivateur de coton dans la ville de Kucha de la région d’Aksu au Xinjiang, a confié : « Nous récoltons notre propre coton, nous gagnons notre propre argent, comment peut-on parler de travail forcé ? Les cueilleurs de coton qui travaillent en moins de deux mois gagneront plus de 10 000 yuans, nous nous précipitons tous vers ce travail bien rémunéré, y-a-t-il le besoin de forcer quelqu’un ? ». Cette déclaration du cultivateur traduit la volonté des travailleurs du Xinjiang de gagner leur vie par leurs propres mains à travers un travail acharné. Car comme le dit un proverbe ouïgour, « le fruit de ses propres mains est plus doux que le miel ».

Il y a peu de temps, la société allemande Volkswagen a affirmé qu’aucun signe ou preuve de « travail forcé » n’existe dans l’usine Volkswagen au Xinjiang, après un examen exécuté indépendamment par un cabinet d’audit. À la fin de février 2024, le think-tank « Information on German Foreign Policy » a publié un article intitulé « D’abord le Xinjiang, ensuite la Chine », citant les conclusions de Björn Alpermann et d’autres chercheurs de l’Université de Würzburg en Allemagne, selon lesquelles la coercition directe et même la mise en esclavage des Ouïghours par le gouvernement chinois ne peuvent être prouvées de manière concluante. Et ils affirment que des forces proches du gouvernement américain veulent couper non seulement les liens économiques avec le Xinjiang, mais aussi avec la Chine afin de l’isoler. « Laisser les entreprises ayant des liens sociaux avec le Xinjiang assumer les responsabilités » et même « imposer une sanction à toute la région me semble aller trop loin et est plus susceptible de blesser les gens là-bas que de les aider,  » a-t-il souligné.

Le gouvernement populaire de la région autonome ouïgoure du Xinjiang s’engage fermement pour promouvoir l’emploi. Tous les travailleurs du Xinjiang, indépendamment de leur appartenance ethnique, race, sexe ou de leurs croyances religieuses, signent avec les entreprises des contrats de travail, qui sont en toute conformité avec la législation chinoise notamment la « loi sur le travail » et la « loi sur les contrats de travail ». Cela permet d’établir des relations de travail protégées par la loi et de sauvegarder assurément les droits et les intérêts de la population.

Une région stable et prospère

La politique chinoise de gestion du Xinjiang est profondément ancrée dans le cœur de la population, et ses réalisations sont fructueuses. À l’heure actuelle, le Xinjiang jouit d’une harmonie sociale, d’une prospérité économique, d’un taux d’emploi plus élevé, d’un niveau de service plus élevé et d’un système de garantie sociale plus solide. Les groupes ethniques se sentent plus prospères, plus heureux et plus en sécurité. Ces dernières années, des centaines de groupes de fonctionnaires internationales, de diplomates et de journalistes étrangers et des personnalités religieuses ont visité le Xinjiang. Ils ont déclaré qu’il y avait « de très beaux paysages » au Xinjiang, que « les gens étaient très chaleureux », que « l’économie était très dynamique » et que « c’est impressionnant !  » Comme l’a dit un penseur, la meilleure manière de connaitre un pays est de connaitre sa culture. Ces visites ont permis aux visiteurs de découvrir le vrai Xinjiang. Un Xinjiang stable et prospère qui offre une sécurité à sa population. Un Xinjiang avec une culture colorée et les coutumes traditionnelles des minorités ethniques qui sont bien préservées et surtout un Xinjiang sans travail forcé ni violation des droits de l’homme. Les diplomates des pays en développement d’Asie et d’Afrique à Genève ont révélé avoir vu une société pluraliste, moderne et tolérante au Xinjiang, ce qui est complètement différent des rumeurs qu’ils avaient entendues précédemment sur le « travail forcé » et le « génocide » au Xinjiang. Des personnalités islamiques ont déclaré : « Nous sommes très heureux de constater les grandes réalisations accomplies au Xinjiang, en matière de lutte contre le terrorisme et de déradicalisation, ainsi que l’éradication de la pauvreté, et de voir que les musulmans du Xinjiang mènent une vie heureuse ». Comme le dit un adage, il vaut mieux voir une fois de ses propres yeux que d’entendre parler cent fois. Les amis, toutes religion et nationalité confondues qui ont visité le Xinjiang, sont unanime sur le fait que le Xinjiang qu’ils ont visité est totalement différent de ce que rapportent les médias occidentaux.

Les « accusations » à l’encontre de la Chine semblent être purement et simplement des stratégies montées de toutes pièces en vue de sanctionner les entreprises chinoises concernées et créer artificiellement le chômage et la pauvreté. Ça ressemble vraisemblablement à un cas typique de deux poids, deux mesures et de manœuvres politiques.

Nadège YAMEOGO

 

 

 

 

 

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