Les paroles déplacées venaient surtout du côté des sous-officiers. Nous avons dit à ces officiers que la communauté nationale et internationale, n’allaient jamais acceptent cette action. Ils nous ont répondu que si la communauté internationale était si forte, Boko Haram et le djihadisme n’allaient pas progresses. Ils nous ont dit que si on s’amuse, on allait même pas sortir du camp vivant. Qu’il suffit juste de 2 grenades.