Le tennis burkinabè ne doit plus sombrer. Avec l’arrivée d’Issouf Nacoulma à la tête de la présidence de la Fédération burkinabè de tennis, on a senti un souffle nouveau. Des efforts et beaucoup de progrès qui ont été faits pour le développement du tennis burkinabè. En témoigne, la participation des minimes et des cadets aux compétitions internationales. En plus, le championnat national se joue chaque année. Et il n’est pas prétentieux, par rapport à ces efforts, de féliciter Issouf Nacoulma et son équipe fédérale, et les encourager afin qu’ils fassent toujours mieux pour la réussite de la petite balle au Burkina Faso. Au cas où Issouf Nacoulma est reconduit pour un autre mandat de quatre ans, il doit faire des efforts pour fabriquer des champions. Et c’est ce que nous souhaitons car depuis le départ de Jonas Kanguembéga, il n’y a plus eu de champion sur le plan local. Chaque fois qu’on veut du monde, chaque fois qu’on veut regarder de beaux matchs de tennis chez nous au pays, il faut faire appel aux Burkinabè de la diaspora. Alors qu’on peut créer des champions sur place qui peuvent nous faire rêver.
Il suffit de revoir la politique de développement du tennis burkinabè dans le bon sens. Et je pense que l’actuelle Fédération peut avoir les moyens pour un tennis burkinabè attirant, pour un tennis burkinabè compétitif sur le plan international. Je félicite le bureau fédéral, également la Ligue du Centre qui fait des efforts pour rehausser le niveau du tennis burkinabè, en mettant un accent particulier dans l’organisation des compétitions au niveau des petites catégories.

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